Rucher de Meudon

 

Activité du rucher en 2009

 

 

Meudon années précédentes

 

 

Samedi 12 décembre.
Traitement des trois colonies, par dégouttement avec une solution d'acide oxalique dans du sirop. J'ai dû utiliser l'enfumoir car par 3°C les abeilles sortaient dès enlèvement du couvre-cadres.
J'ai ensuite installé un auvent sur chacune des 3 ruches. Comme le nuit est tombée pendant ce travail, j'ai fini l'installation en utilisant ma lampe frontale à LEDs, bien pratique pour avoir les deux mains libres. La planche d'envol devrait désormais rester sèche même par temps de pluie ou neige.


Vendredi 11 décembre.
Après une semaine sous les ruches, les tiroirs blancs huilés ont été retirés.
Ruche n°2 : la grappe d'abeille est cantonnées sur 2 à 3 travées sur la partie arrière. Il y a une forte infestation par varroa.
Ruche n°3 : la grappe est située bien au centre et la colonie doit être importante car il y a des déchets sur toute la surface du tiroir. Il n'y a pas beaucoup de varroa, à peine un peu plus de 1 par jour.
Ruche n°4 : la grappe d'abeille est cantonnées sur 2 à 3 travées sur la partie droite. Peu de varroa, un peu plus de 1 par jour.
Il est prévu que la température baisse. Les abeilles vont bien se regrouper en grappe ce qui va me permettre de les traiter à l'acide oxalique.


Vendredi 4 décembre.
Pour évaluer l'infestation par varroa de mes colonies j'ai mis en place ce matin des tiroirs blancs huilés sous chaque ruche. Je ferai le décompte du varroa tombé dans une semaine.
S'il y a plus de 1 varroa par jour je traiterai par dégouttement à l'acide oxalique.


Jeudi 3 décembre.
Déplacement de la ruche n°2 vers l'emplacement des ruches n°3 et 4. Les 3 ruches sont maintenant bien regroupées.
Pour faire cette manœuvre j'ai commencé par fermer la sortie sur la planche d'envol avec une planche tenue par un serre-joint car la portière étant baissée, on ne pouvait pas fermer avec de la mousse plastique comme on le fait habituellement. Le temps de cette manipulation, j'ai remis en place les poignées métalliques, que j'ai enlevées ensuite pour éviter le bruit lorsqu'il y a du vent.
Il était 21h00 et la température de 4°C. Tout s'est bien passé, les abeilles sont restées bien calmes.


Lundi 23 novembre.
Sur les ruches 3 et 4, mise en place d'un pain de candi APIFONDA.


Dimanche 25 octobre.
Visite de routine en début d'après-midi. Temps calme avec soleil et nuages alternants par une douce température de 15°C.
Les 3 ruches sont actives et continuent à rentrer du pollen. La végétation est très variée et encore abondante. Sur les cosmos, elles sont nombreuses à venir butiner.
Devant la ruche n°2 il y a encore de nombreuses abeilles avec les ailes malformées. Malgré cela la population a l'air assez forte et laborieuse.


Dimanche 18 octobre.
Préparation des ruches pour l'hiver. Cela a consisté à placer, sur le couvre cadre, une plaque de polyuréthane expansée rigide (donc à cellules fermées = bon isolant thermique).
Compte-tenu du poids des ruches, les colonies semblent avoir stocké assez de réserves pour l'hiver.
Le taux d'infestation par varroa me paraît bas pour les ruches 3 et 4 mais un peu plus haut pour la ruche 2. Je ferai un contrôle début décembre sur les 3 ruches, et traiterai par dégouttement à l'acide oxalique celles qui en auront besoin.


Samedi 10 octobre.
Je profite de la pose d'une portière sur une ruche AMOP pour regarder les 3 ruches.
Par une température clémente (18°C) et un bel ensoleillement, les abeilles sont très actives. En plus de nectar et pollen ramenés, les pains de candi sont à moitié consommés.


Mercredi 07 octobre.
Les abeilles travaillent bien dans les 3 ruches. Les reines doivent bien pondre car il y a une forte entrée de pollen. Il faut signaler que les conditions atmosphériques sont exceptionnelles avec du soleil, certes un peu voilé, mais une température de plus de 20°C.
A noter que devant la ruche n°2 il y a de nombreuses abeilles qui trainent avec des ailes déformées. J'ai l'impression que le traitement contre le varroa a été moins efficace que pour les 2 autres ruches. A rapprocher peut-être du fait que j'avais constaté, à savoir que l'éponge imprégnée d'acide formique ne séchait pas aussi vite que celles des autres ruches.


Dimanche 04 octobre.
Visite au rucher. Il fait un temps couvert avec un léger vent et 18°C de température.
Les 3 ruches sont actives et rentrent du pollen, surtout dans les n° 2 et 3. La ruche n°4 tout en étant assez active ramène peu de pollen.
Dans les 3 ruches les abeilles ont entamé le candi.


Dimanche 27 septembre.
J'ai retiré les nourrisseurs sur les 3 ruches et mis en place un pain de candi. Il y a une belle activité des abeilles avec rentrée de pollen. Il doit y avoir du couvain et les lierres en fleurs sont de bons fournisseurs de nectar et pollen.


Mardi 15 septembre.
Depuis le dimanche 30 août j'ai donné à mes 3 ruches, et à celle de l'AMOP dont j'ai la charge, 25 centilitres par jour de sirop 50/50.
Je ne pourrai pas aller au rucher pendant une dizaine de jours; j'ai donc distribué le reste de sirop soit environ 1 litre par ruche.
Vers le 25 septembre je mettrai en place les nourrisseurs avec les cadres de miel que j'ai prélevés lors de ma première visite du corps de ruche, en début d'année.


Dimanche 30 août.
Cette fois il est tombé peu de varroa.
J'ai enlevé le montage fait lors du traitement à l'acide formique pour mettre en place, sur chaque ruche, un nourrisseur avec sirop 50/50. Les abeilles étant très calmes, j'ai opéré sans enfumer et tout s'est parfaitement déroulé.


Vendredi 28 août.
Comme lors de la  visite du 25 août, l'éponge de la ruche 2 était encore humide alors que celles de ruches 3 et 4 étaient complètement sèches.
Recharge des éponges avec l'acide formique 85% pour les ruches n° 3 et 4.


Mercredi 26 août.
Le remérage en reine buckfast du 17 juin a bien réussi. Voici une illustration du résultat sur la planche d'envol de la ruche n°3.
Résultat de la mesure du varroa tombé en 24 heures.
Ruche 2 :
  environ 60
Ruche 3 :
  plus de 300
Ruche 4:
  environ 150
Je pense que je vais être obligé de recharger encore une fois. Je choisirai comme cette fois-ci l'acide formique 85%.


Mardi 25 août.
L'éponge de la ruche 2 était encore humide alors que celles de ruches 3 et 4 étaient complètement sèches.
Recharge des éponges avec l'acide formique 85% pour toutes les ruches (y compris AMOP).


Samedi 22 août.
A 11h, visite des tiroirs sous les ruches.

Ruche 2 :
  pratiquement pas de varroa. Je laisse l'éponge sécher et ne rajouterai pas d'acide formique.
Ruche 3 et Ruche 4 :
une estimation par comptage, rapide et sur place, d'un seul carré indique un même ordre de grandeur pour les 2 ruches, soit environ 300 varroa. Je vais laisser l'éponge sécher et dans quelques jours je rechargerai en acide formique 85% ou 60% en fonction de la température ambiante.
J'ai laissé les tiroirs en place, ce qui confine un peu l'atmosphère de la ruche et évite que les vapeurs acides ne soient évacuées trop vite.


Vendredi 21 août.
Le matin vers 11h, il fait 21°C avec un ciel légèrement nuageux. Visite des installations de traitement du varroa. Toutes les éponges sont complètement sèches. Je les ai toutes rechargées en avec l'acide formique et j'ai mis en place les tiroirs blancs sous chaque ruche.
Dans tout le rucher il y avait un faible activité. Il ne doit pas y avoir de miellée. Bientôt le lierre va fleurir ce qui leur permettra de s'approvisionner en nectar.


Mercredi 19 août.
Résultat du comptage du varroa tombé en 24 heures.
Ruche 2 :
  66.
Ruche 3 :
  340
Ruche 4 :
  310.
Le traitement est efficace et dans quelques jours je rechargerai les éponges avec l'acide formique à 60%.


Mardi 18 août.
Hier en mettant en place le traitement à l'acide formique j'ai placé sous chaque ruche le tiroir blanc quadrillé qui permet de mesurer la chute de varroa.
En début d'après-midi le contrôle me réserve des surprises :
Ruche 4 :
entre 250 et 300 varroa tombés en 24 heures.
Ruche 2 et Ruche 3 :
quelques varroa seulement !!
J'ai donc visité chaque ruche. Dans la n°4, tout était bien en place. Par contre dans la n°2 et la n°3 les 2 feuilles de polyéthylène, placées en dessous et au dessus de l'éponge imprégnée d'acide, étaient en contact et "soudées" avec la propolis ce qui fait que les vapeurs étaient captives et ne pouvaient se répandre dans la ruche.
J'ai modifié l'agencement pour éviter que les feuilles, qui se détendent sous l'effet de la chaleur, ne puissent entrer en contact et être collées l'une à l'autre.
Les tiroirs nettoyés ont été remis en place pour juger de l'efficacité du traitement.


Lundi 17 août.
J'ai mis en place sur les ruches le traitement anti-varroa à l'acide formique, dilué à 60% compte-tenu des fortes températures annoncées pour les jours prochains.
Il faisait environ 20°C et les abeilles étaient très calmes.
Hier soir j'avais mis un chasse-abeille sur chaque ruche et j'ai récupéré les hausses ce matin. Il n'y a pratiquement pas de miel de stocké.


Samedi 15 août.
Prélèvement des tiroirs pour comptage de varroa recueilli sous chaque ruche. Ces tiroirs sont restés en place pendant 3 jours. Voici le résultat du comptage de varroa tombé en 3 jours

Ruche 2 :
49 soit 16/jour. Vue du tiroir.
Ruche 3 :
241 soit 80/jour. Vue du tiroir.
Ruche 4 :
223 soit 74/jour. Vue du tiroir.
Il y a une forte infestation et je vais traiter de suite à l'acide formique.
A noter que les abeilles sont actives dans toutes les travées des ruches.


Mercredi 12 août.
Mise en place, sous le grillage du corps des trois ruches, de tiroirs blancs quadrillés et huilés pour mesure de la chute de varroa.


Dimanche 19 juillet.
Ruche 4 :
Le matin, prélèvement des deux hausses laissées en place la veille. Elles étaient très lourdes. J'ai extrait en début d'après-midi et remis ces deux hausses à lécher sur cette même ruche.
Au total il y a deux hausses sur chaque ruche et sur la 3 et la 4 un nourrisseur avec la cire de désoperculation.


Samedi 18 juillet.
De retour de vacances j'ai constaté qu'il y avait des hausses à récolter.
Vendredi soir j'ai placé sur chaque ruche un chasse-abeilles entre le corps et la première hausse.
Ruche 4 :
  Samedi matin il y avait encore de nombreuses abeilles dans les 3 hausses. Compte-tenu de leur agressivité je n'ai prélevé que la hausse du dessus.
Ruche 3 :
Récolte de la hausse qui a été remplie depuis mon départ en vacances.

Ruche 2 :
Sur les deux hausses, seule celle du bas est exploitable et je l'ai prélevée. J'en ai profité pour regarder un cadre au centre du corps; il y avait un magnifique couvain, ce qui donne à penser que la nouvelle reine est très active.
J'ai extrait le miel samedi après-midi et remis à lécher une hausse sur la ruche n°2 et deux hausses sur la ruche n°3


Mardi 23 juin.
Je vais m'absenter environ 3 semaines et j'essaie de prévoir ce dont les abeilles auront besoin.
Ruche 4 :
Ajout d'une troisième hausse avec cadres bâtis, car la colonie est très forte et les abeilles nombreuses dans la deuxième hausse
               déjà bien chargée en miel
Ruche 2 :
Ajout d'une deuxième hausse avec cadres bâtis. Les abeilles sont peu nombreuses dans la première hausse mais celle-ci est bien
               pleine de miel.
Ruche 3 :
Rien changé car la hausse en place est vide et la colonie semble assez faible.


Jeudi 17 juin.
Avec Ugo Cantagalli on a procédé au remérage des 3 ruches avec des reines Buckfast achetées en Belgique.
Ruche 4 : Elle avait 2 hausses. Pendant plus de 2 heures on a cherché la reine que l'on a fini par la trouver dans la hausse du dessus.
                Mise en place de la reine B 133
Ruche 3 : Une hausse sans miel stocké. Beau couvain. On a trouvé la reine rapidement.
                Mise en place de la reine P 133 n°18
Ruche 2 : Une hausse avec miel peu operculé. Cette ruche a essaimé le 23 mai. Il n'y a plus de ponte ni couvain, donc pas de reine féconde.
                Mise en place de la reine P 133 n°27 avec 2 cadres de couvain prélevés dans la ruche 3.


Jeudi 11 juin.
 
Ruches n°2 : Visite du corps de ruche. Très peu de couvain operculé; de belles cellules royales ouvertes. J'espère que le reine a bien été fécondée.
Ruches n°4
: Dans le corps de ruche il y avait encore des cellules royales que j'ai détruites.
J'ai visité les 2 hausses; dans la première, sur plusieurs cadres il y a du couvain et des cellules royales que j'ai détruites. Habituellement quand la reine pond dans les hausses, ce sont des cellules de faux-bourdons; dans le cas présent ce sont des cellules d'ouvrières très régulièrement positionnées.
Il y a bien du miel dans les deux hausses mais aucune n'est suffisamment operculée pour la récolte. Cette colonie qui comprend énormément d'abeilles ne stocke pas beaucoup de miel et est très agressive (j'ai été piqué six fois sur la main droite).

Ruche n°3
: Ça y est, il y a quelques abeilles dans la hausse. Je n'ai pas regardé dans le corps pour ne pas déranger la colonie.
Tout autour du rucher, les ronciers sont en fleurs et sont bien visités par les butineuses.


Mardi 02 juin.
 Ruches n°2 : Beaucoup d'activité des faux-bourdons qui entrent et sortent en nombre. La nouvelle reine va peut-être faire son vol nuptial.
Ruche n°4
: Visite des cadres et destruction des cellules royales qui étaient peu nombreuses. Cette ruche est très agressive, sans comparaison avec les deux autres. Les abeilles sont nombreuses dans la seconde hausse.

Ruche n°3
: Toujours pas d'abeilles dans la hausse.


Dimanche 24 mai.
 Ruches n°2 : Dès mon arrivée, en soulevant le toit j'ai constaté qu'il n'y avait plus d'abeilles dans la hausse. La colonie a essaimé malgré mes visites régulières. Dans le corps de ruche il reste peu d'abeilles.
Ruche n°4
: Visite des cadres et destruction des cellules royales.
Ruche n°3 :
La colonie n'a pas encore complètement rempli le corps.


Samedi 16 mai.
 Ruches n°2 et n°4 : Visite des cadres des corps pour éliminer les cellules royales. Ces 2 ruches sont très populeuses et ont construit des cellules royales depuis ma dernière visite le 8 mai.
J'ai constaté, dans la ruche n°2 que la reine était montée pondre des oeufs de faux-bourdons dans le bas du cadre central de la hausse. Pourtant il y avait une feuille plastique qui ne permettait l'accès à la hausse que par les deux dernières travées de chaque côté. La feuille plastique n'est pas perforée et la reine a donc dû la contourner.
En ce moment les robiniers (faux-acacias) sont en train de fleurir. J'espère qu'il ne pleuvra pas trop pour permettre aux abeilles de bien butiner et de récolter en quantité, ce nectar qui donne un miel si apprécié.


 

Mercredi 13 mai.

 Ruches n°2 et n°4 : Les abeilles sont dans la deuxième hausse. Très bonne activité des butineuses qui ramènent aussi du pollen.

 Ruches n°3 : La colonie s'est bien développée. Mise en place d'une hausse avec 7 cadres bâtis et 2 cadres gaufrés.


 

Samedi 09 mai.

 Ruches n°2 : Les abeilles sont nombreuses dans la hausse, et les 4 cadres gaufrés mis le 21 avril sont bâtis avec de la cire bien blanche. Je rajoute une hausse avec 9 cadres gaufrés.

Ruche  n°4 : Les abeilles, quoique nombreuses, ne semblent travailler que sur 7 cadres mais commencent à bâtir sur la vitre en plexiglas. Je rajoute une hausse avec 9 cadres gaufrés.


 

Vendredi 08 mai.

 Ruches n°2 et n°4 : J'ai détruit plusieurs cellules royales bâties mais non encore operculées (10 et 7). Il y avait une forte activité dans les hausses. Il y a beaucoup de couvain dans les deux ruches.

La hausse de la ruche n°2 est déjà bien remplie car assez lourde.

La hausse de la ruche n°4 est un peu moins remplie.

Dans les prochains jours je vais ajouter une hausse de 9 cadres de cire gaufrée à chacune de ces deux ruches. Ça fera travailler les glandes cirières des jeunes ouvrières.

Ruche n°3 : La population de la colonie n'est pas encore très importante mais elle se développe. Je visiterai ses cadres dans 9 jours lorsque je rechercherai les cellules royales sur les 2 autres ruches.


 

Vendredi 1er mai.

 Ruches n°2 et n°4 : mise en place d'un nourrisseur sur la hausse avec comme nourriture des rayons de miel, provenant des cadres que j'avais prélevés (et remplacés par ces cadres gaufrés) le 13 mars dans la ruche n°2, et que j'ai broyés pour libérer le miel.


 

Jeudi 30 avril.

 Ruches n°2 et n°4 : visite pour rechercher les cellules royales. Il y avait plusieurs cellules bâties mais non encore operculées (5 et 6) que j'ai détruites. Il y avait une petite activité dans les hausses.

Ruche n°3 : J'en ai profité pour la visiter succinctement . Elle est toujours faible mais il y a un beau couvain. Elle arrivera peut être à se développer et à produire un peu de miel cette année.


 

Mercredi 22 avril.

 - Ruche n°2 : Visite de tous les cadres à la recherche de cellules de reine. J'ai trouvé et détruit une cellule de reine qui n'était pas sur la tranche du rayon comme habituellement mais sur le flanc, au milieu du couvain. Il y a une belle population d'abeilles et 5 cadres de couvain complètement plein sur les deux faces. Compte-tenu de ces observations c'est une colonie qui va essayer d'essaimer; j'espère qu'il n'y avait pas d'autres cellules de reine qui auraient échappé à mon attention. Tous les 9 jours je ferai une nouvelle inspection.


 

Mardi 21 avril.

 - Ruche n°4 : Mise en place d'une hausse avec 5 cadres bâtis et 4 cadres gaufrés.


 

Lundi 20 avril.

 - Ruche n°2 : J'ai mis une hausse il y a deux jours et les abeilles y travaillent déjà mais il n'y a quand même pas encore foule.

 - Ruche n°4 : Visite de tous les cadres. J'ai remarqué qu'il y a de nombreuses cellules de mâles. J'ai détruit 2 cellules de reine. Il y a beaucoup de couvain et une assez forte population. Je vais rapidement mettre une hausse.

 - Ruche n°3 : Visite de tous les cadres. Il y peu d'abeilles, peu de couvain et des cadres qui ne sont pas encore bâtis.


 

Vendredi 17 avril.

Vers 21h30 j'ai installé, sur les emplacements préparés la veille, les 2 ruches en provenance de Chaville. En les portant j'ai pu estimer la force des colonies. Le n°4 s'est bien renforcée; par contre la n°3 est toujours assez faible.


 

Jeudi 16 avril.

Ce matin vers 10h30 François Jaguelin et Ugo Cantagalli ont amené 3 ruches achetées à un apiculteur de "Ozouer le Voulgy" en Seine et Marne. Nous les avons installées sur des supports métalliques que j'ai prêté à l'AMOP en attendant la mise en place de parpaings. Il y en a une qui restera à Meudon  et les 2 autres sont destinées à Vanves et Sèvres.

Concernant la ruche qui reste à Meudon, dont je prends la responsabilité pour le compte de l'AMOP, elle est constituée d'une ruche d'occasion, d'un nourrisseur en bois faisant office de couvre-cadres et de deux hausses dont l'un n'a que des cadres à clous et non à épaulements. La ruche est peuplée d'une colonie d'abeilles Buckfast et nous avons constaté avec Frank Clanet qu'il y avait encore des cadres gaufrés non bâtis. François Jaguelin nous ayant ordonné de mettre une hausse immédiatement nous l'avons fait le matin même avec Frank Clanet.

L'après-midi j'ai installé deux emplacements avec des parpaings pour recevoir mes 2 ruches que je vais rapatrier de Chaville.


 

 

Mardi 14 avril.

Visite des cadres pour voir s'il y a des cellules royales. Aucune cellule détectée. Il y a 5 cadres de couvain.

J'ai pris comme méthode d'effectuer ce contrôle des 10 cadres du corps en les changeant en même temps de ruche. Pour ce faire, je déplace la ruche pleine d'un mètre environ, je mets la ruche vide à la place et je transfers chaque cadre en en profitant pour bien les examiner. Lorsqu'il y a trop d'abeilles sur le cadre pour permettre un bon examen, je secoue ce dernier au dessus de la ruche vide. En opérant de la sorte on évite de frotter les cadres les uns contre les autres lors de l'extraction et de la remise en place. Les abeilles restent très calmes. Il n'y a que le premier cadre de rive que l'on extrait verticalement et le dernier cadre de rive au moment de sa réinsertion dans le nouvelle ruche, pour lesquels il y a du frottement.

Cette méthode a un autre avantage qui est de "faire tourner les ruches" et de permettre ainsi leur entretien régulier.

Il y a encore un peu de place pour stocker du miel dans le corps de ruche; en conséquence je vais attendre un peu avant de mettre une hausse.


 

Lundi 13 avril.

Lundi dernier j'avais mis en place une grille à propolis. Jusqu'à présent au cours des visites je constatais un désintérêt flagrant des abeilles pour cette grille. Aujourd'hui j'ai vu qu'elles avaient commencé à obturer les fentes. Je vais donc la laisser encore quelques jours pour qu'elles continuent le colmatage.

Je mettrai très prochainement en place une hausse car l'activité de la ruche se renforce bien.


 

Samedi 11 avril.

J'ai fait ma première récolte de pollen. Le tiroir était rempli à mi-hauteur. Il comporte une majorité de grains vert-jaunâtre, probablement de l'érable champêtre.


 

Mercredi 08 avril.

Il fait soleil et environ 20°C. Il y a une bonne activité sur la planche d'envol. Il y a manifestement les butineuses mais également les nouvelles abeilles qui font le vol d'orientation en voletant devant la ruche.

J'ai rabattu la porte perforée de la trappe à pollen et je viendrai récupérer la récolte dans une petite semaine.

La renarde était là lorsque j'ai ouvert le portail. C'est la première fois que je la vois cette année. Je me suis déplacé lentement sans geste brusque jusqu'aux ruches et suis passé à 25m d'elle qui s'était couchée dans l'herbe. Lorsque je suis reparti, elle avait disparu.


 

Lundi 06 avril.

Visite de printemps. Il y a un couvain régulier sur 3 cadres. La colonie, quoique pas très forte, ne paraît pas aussi faible que je le redoutais. Les deux cadres avec cire gaufrée que j'avais mis en place le 13 mars ne sont pas encore complètement bâtis.

J'ai mis une grille à propolis sous le couvre cadres et le piège à pollen en position ouvert.


 

Mercredi 01 avril.

Le nourrisseur est vide et je rajoute 1 litre de sirop.

Activité moyenne des abeilles sur la planche d'envol.


 

Lundi 30 mars.

J'ai remarqué que de la moisissure se développait dans le sirop du nourrisseur. J'avais donc préparé un nourrisseur bien désinfecté avec de l'eau de javel et l'ai mis à la place de l'ancien avec 1 litre de sirop.


 

Mardi 24 mars.

Les abeilles sont nombreuses et actives dans le nourrisseur et ont consommé tout le sirop. J'ai ajouté un litre de sirop 50/50.

Comme la température est assez basse, il n'y a pratiquement pas de mouvement sur la planche d'envol.


 

Jeudi 19 mars.

Remplacement du pain de candi par un nourrisseur avec 1 litre de sirop 50/50.

Ca y est les abeilles fréquentent l'abreuvoir.


 

Vendredi 13 mars.

Visite de printemps de la ruche n°2. Cette ruche est équipée de vieux cadres dont certains sont suspendus aux plaquettes d'écartement avec des clous. C'est beaucoup plus difficile à manipuler que les cadres tout en bois et je vais les éliminer petit à petit. J'ai mis en place 2 cadres gaufrés. A noter que cette colonie a une forte tendance à propoliser. Pain de candi consommé à 90%.

La colonie est assez forte et le couvain est bien fourni sur deux cadres. Sur la planche d'envol l'activité était bonne.

Contrairement à ce que l'on constate à Chaville, l'abreuvoir n'a pas la visite des abeilles.


 

Lundi 2 mars.

Ayant appris que les abeilles fréquentaient en quantité l'abreuvoir de Chaville j'ai mis en service celui de Meudon.

Mise en place sur la ruche n°2 d'une trappe à pollen avec pour le moment la porte grande ouverte. En effet plusieurs de mes clients de miel ont montré un intérêt pour le pollen et la propolis et je vais donc en récolter cette année.


 

Samedi 28 février.

Avant d'aller voir la ruche de Meudon j'ai fait une promenade dans les rues de Meudon et Clamart. J'ai pu y observer les abeilles qui visitaient les lauriers-tins, les perce-neiges la véronique de perse et les crocus. Vers 16h00 à Meudon vers la gare Val Fleury, sur une jardinière de crocus de moins d'un m², bien ensoleillée, il y avait une douzaine d'abeilles qui butinaient.

Il y avait une bonne activité devant la ruche avec beaucoup de rentrée de pollen. Devant deux ruches (AMOP et Frank) il y avait du vol d'orientation.


 

Mercredi 25 février.

Visite en début d'après-midi.

Activité moyenne sur la planche d'envol. Une abeille sur deux  ramène du pollen, il doit y avoir du couvain.


 

Jeudi 19 février.

Visite en tout début d'après-midi, lorsque le soleil est au plus haut.

Activité moyenne sur la planche d'envol. Certaines abeilles ramènent du pollen de couleur bien orangée. Je n'ai pas vu de jeunes abeilles, la reine n'a pas pondu tôt cette année.

En repartant j'ai pu voir que, dans les places ensoleillées, la "véronique de perse" avait éclos et qu'elle était visitée par les butineuses. De même pour les "pensées".


 

Mercredi 11 février.

Visite et nettoyage du tiroir de la ruche n°2 qui a été posé il y a 6 jours. Je n'ai pas vu de varroa. Il doit y avoir une bonne activité de la colonie car il y a une quantité de déchets importante.

Les abeilles ont maintenant bien entamé le pain de candi et elles étaient nombreuses à consommer cet après-midi.


 

Jeudi 5 février.

Mise en place sous la ruche du tiroir pour éviter les échanges thermiques et faciliter la mise en température à 35°C du futur couvain.


 

Vendredi 30 janvier.

Visite  début d'après-midi.

   - Ruche n°2 : il y a quelques abeilles dans le pain de candi. Sur le tiroir mis en place il y a 4 jours il y a des déchets sur 3 travées et 1 seul varroa.

La quantité de déchets est faible; l'activité des abeilles doit être très ralentie car le climat est assez froid de ces jours-ci. D'après les prévisions météo ce froid sec va continuer encore quelques jours.

Compte-tenu de la faible infestation constatée, je ne ferai pas de traitement anti-varroa au printemps.

Il ne semble pas que la reine ait commencé à pondre.


 

 

Lundi 26 janvier.

En début d'après-midi, visite de la ruche pour voir s'il y a encore des abeilles. Le pain de candi est à peine entamé et il n'y avait pas d'abeilles visibles.

Mise en place d'un tiroir sous la grille du corps de ruche pour pouvoir juger dans quelques jours de l'activité des abeilles (en fonction des déchets recueillis sur les planchettes). En même temps je pourrai voir le nombre de varroa tombé.


 

Dimanche 11 janvier.

Ce matin, le matériel ayant passé 5 nuits à des températures inférieures à -5°C, j'ai tout rentré dans le local d'hivernage. J'ai inspecté chaque hausse, ruche et ruchette et n'ai trouvé qu'une ruchette infectée par la fausse teigne. Je l'ai bien nettoyée en enlevant les cadres abimés et de nombreuses larves dans leur cocon, et passée au chalumeau. Cette ruchette avait été stockée alors qu'un cadre avait un peu de miel. Dorénavant j'éliminerai toute trace de miel avant de stocker le matériel.


 

Mardi 06 janvier.

En fin d'après-midi, comme les prévisions météo indiquent plusieurs jours de temps très froids et secs, j'ai sorti le matériel apicole, stocké dans mon garage, dans le jardin de l'immeuble. C'est le moyen le plus écologique pour assainir les hausses, ruchettes ruches avec leurs cadres. Je les laisserai trois jours et nuits avant de les remettre à l'abri.


 

Jeudi 01 janvier.

Dans l'après-midi récupération de la planchette sous la ruche n°2 pour mesurer le varroa.

Il y a moins d'un varroa par jour, ce qui est encourageant. Les déchets sont bien groupés ce qui montre que la grappe est bien formée.