Rucher de Meudon

 

Activité du rucher en 2008

 

 

 

Samedi 27 décembre.

Dans l'après-midi mise en place d'une planchette sous la ruche n°2 pour mesurer le varroa qui tombe et donc juger de l'efficacité du traitement à l'acide oxalique. Je ferai le comptage dans une semaine.


 

Samedi 20 décembre.

En fin d'après-midi lorsque toutes les abeilles sont dans le ruche, enlèvement de la ruche n°5.

Au rucher de Meudon il ne me reste plus qu'une ruche, la n°2.


 

Vendredi 19 décembre.

En début d'après-midi il fait 8°C et du soleil, les abeilles volètent devant les ruches. Elles vident probablement leur ampoule fécale.

J'ai ouvert les ruches et traité par dégouttement avec la solution d'acide oxalique.

Comme la température est assez clémente, les abeilles ne sont pas en grappe et se promènent dans toutes les travées. Le traitement par dégouttement est plus difficile que quand elles sont bien regroupées en grappe. L'an prochain s'il faut traiter à l'acide oxalique, je choisirai un moment où la température est plus basse (entre 0°C et 5°C).


 

Mardi 16 décembre.

La solution à 35g d'acide oxalique di-hydraté par litre de sirop de sucre 50/50 en poids est prête. La météo annonce un réchauffement vendredi et j'en profiterai pour traiter par dégouttement dans l'après-midi.


 

Jeudi 11 décembre.

Mise en place sur chacune des ruches d'un pain de candi.


 

Mardi 2 décembre.

Retrait des planchettes pour compter le varroa tombé depuis le 27 novembre. J'ai photographié les planchettes et je visionne sur mon PC pour effectuer le comptage.

- Ruche n°2 : Vue d'ensemble de la planchette et vue en détail

- Ruche n°5 : Vue d'ensemble de la planchette et vue en détail

Je vais traiter ces colonies par dégouttement avec l'acide oxalique.


 

Jeudi 27 novembre.

Mise en place sous les 2 ruches d'une planchette peinte en blanc, quadrillée et enduite d'huile. Ceci dans le but de compter le nombre de varroa/jour qui tombe sous la grappe d'abeilles.

En fonction du résultat, dans la première quinzaine de décembre, je traiterai (ou non) par dégouttement avec une solution sucrée d'acide oxalique.


 

Lundi 20 octobre.

Préparation des ruches pour l'hiver. Cela a consisté à mettre sur le corps de ruche un contreplaqué couvre cadres qui comporte un trou de 5cm de diamètre en son centre. Ce trou est obturé par une feuille de plastique que l'on peut facilement enlever pour mettre un pain de candi. On place sur ce contreplaqué un "réhausseur" c'est à dire une hausse de 13cm de hauteur (la moitié d'une hausse normale). Dans ce réhausseur on insère une plaque de mousse rigide de polyuréthane pour bien isoler thermiquement et on ferme le dessus avec une planche de 25mm d'épaisseur qui reçoit le toit.

Pour la ruche n°5, la colonie étant faible et n'occupant que 7 cadres, j'ai mis en place une séparation dans le corps de ruche.


 

Mercredi 17 septembre.

Mise en place sur la Ruche n°2 d'un nourrisseur avec les cires de désoperculation de la récolte de fin août. Je reprendrai la stimulation au sirop 50/50 quand elles auront récupéré tout le miel des opercules.

- Ruche n°5 : Rajout de sirop 50/50. J'en mets peu à chaque fois (~ 250ml) car il semble que c'est meilleur pour la stimulation que de mettre de grandes quantités. Belle activité sur la planche d'envol avec des rentrées de pollen. Cette année cette ruche n'a pas "donné" 1g de miel; j'espère que ce sera mieux l'an prochain.


 

Dimanche 14 septembre.

En fin de matinée visite des nourrisseurs. Dans les 2 ruches il ne reste plus de sirop, elles ont tout bu et il va falloir que je recharge les nourrisseurs.


 

Vendredi 12 septembre.

Pour les 2 ruches arrêt du traitement à l'acide formique. Mise en place de nourrisseurs avec 1 litre de sirop 50/50.


 

Mercredi 10 septembre.

- Ruche n°2 : Visite de la planchette située sous la ruche et destinée d'une part à confiner l'atmosphère de la ruche pendant le traitement à l'acide formique, et d'autre part à recueillir les déchets de cette ruche, tombés en une semaine. Sur cette photo, on voit bien que l'activité de la ruche est bonne car il y a des déchets sur toute la surface de la planchette. En y regardant de plus près, compte-tenu de la quantité de varroa on peut juger de la bonne efficacité du traitement à l'acide formique.


 

Jeudi 4 septembre.

Changement des éponges imbibées d'acide formique. Comme le température est assez basse, les nouvelles éponges sont imbibées d'acide formique pur (plus précisément à 85%, celui que l'on trouve dans le commerce). Dans une semaine j'enlèverai le traitement et je nourrirai au sirop 50/50.


 

Dimanche 31 août.

En fin de matinée visite des planches d'envol des ruches traitées à l'acide formique pour voir si les abeilles le supportent bien. Il y a une forte activité des butineuses dans les 2 ruches, avec en particulier une bonne rentrée de pollen.

Manifestement les vapeurs d'acide formique ne les ont pas perturbées.

Par contre j'ai noté une observation peu encourageante; la ruche AMOP peuplée d'abeilles carnica a sa planche d'envol déserte. J'ai l'impression que la colonie a déserté la ruche !


 

Vendredi 29 août.

- Ruche n°2 : Retrait de la hausse et mise en place du traitement à l'acide formique dilué (40% eau et 60% acide formique à 85%).

- Ruche n°5 : Mise en place du traitement à l'acide formique dilué (40% eau et 60% acide formique à 85%).


 

Mercredi 27 août.

- Ruche n°2 : j'ai enlevé le nourrisseur et mis en place un chasse abeilles sous la hausse.

- Ruche n°5 : retrait de la hausse. Cette hausse a été mise en place le 14 mars mais il n'y a pas un gramme de miel. J'ai fait une erreur en essayant de réintroduire l'essaim qui l'avait quitté 15 jours plus tôt. J'ai au moins appris quelque chose mais cela m'a couté au moins 30 kg de miel !


 

Jeudi 21 août.

Récupération des planchettes et comptage du varroa tombé. Il y a manifestement une quantité de varroa trop importante dans les colonies des deux ruches. Début septembre je vais faire un traitement à l'acide formique. Ensuite je mettrai en place un nourrisseur au sirop 50/50 pour stimuler la ponte de la reine.


  

Dimanche 16 août.

Mise en place sous chaque ruche d'une planchette blanche quadrillée enduite d'huile pour compter les chutes de varroa.


 

Jeudi 14 août.

En allant vérifier si tout se passait bien dans le nourrisseur que j'avais mis en place du la ruche n°2, le 12 août, j'ai constaté qu'il n'y avait aucune abeille sur la cire à lécher. C'est la première fois que j'utilise ce genre de nourrisseur et j'ai donc regardé d'un peu plus près ce matériel et je me suis aperçu que le passage sous une planchette était certainement trop étroit pour que les abeilles puissent passer. En ouvrant j'ai constaté que cette planchette, utile quand il y a du liquide dans le nourrisseur, était amovible et je l'ai enlevée. Il n'a pas fallu 5 minutes pour que la cire de désoperculation soit couverte d'abeilles. La photo n'est pas très nette car il y a une plaque de plexiglas. On apprend le métier chaque jour !!


 

Mardi 12 août.

Mise en place sur la ruche n°2 d’un nourrisseur avec toute la cire à lécher, récupérée lors de la désoperculation de la récolte du 2 août.


 

Vendredi 8 août.

Enlèvement des hausses avec les cadres mis à lécher lundi dernier. J’ai laissé sur chaque ruche une hausse car l’an dernier les abeilles avaient bien stocké au mois d’août.


 

Lundi 4 août.

L'extraction a eu lieu hier dimanche (mise en pot de 25,6 kg) et j'ai remis sur la ruche n°2 les cadres à lécher. Les abeilles étaient nombreuses dans la hausse vide que j'avais laissée en place. La colonie de cette ruche semble forte. A Meudon il y a du nectar en août et comme la population d'abeille semble assez importante, j'espère qu'elle va stocker du miel d'ici fin août. L'an dernier j'avais fait une bonne récolte en août.


 

Samedi 2 août.

- Ruche n°2 : j'ai prélevé 2 hausses. Contrairement à se que j'avais constaté il y a quelques heures en passant à Chaville, ici il y a encore de nombreuses abeilles dans les hausses. En sortant les cadres pour brosser les abeilles j'ai constaté que les 2 du centre avaient du couvain. Ceci explique que les abeilles ne sont pas descendues dans le corps de ruche cette nuit. J'ai placé ces deux cadres dans la hausse qui reste sur la ruche.

- Ruche n°5 : La hausse en place sur cette ruche depuis 3 mois est toujours vide et les cadres gaufrés ne sont pas bâtis. Je l'ai laissée en place.

Comme à Chaville, compte tenu du poids de ces hausses, la récolte sera faible. Il y a pourtant dans la ruche n°2 une très forte population d'abeilles, mais qui a dû se constituer un peu tardivement.


 

Vendredi 1er août.

Mise en place d'un chasse-abeilles sur la ruche n°2. La 3ème hausse avec les cadres gaufrés que j'avais placée avant de partir en vacances n'a pas été touchée.

Dans la seule hausse qui avait été placée sur la ruche n°5, il n'y a toujours aucune abeille et aucun miel de stocké. Cette ruche n'aura produit aucun miel cette année!


 

Vendredi 13 juillet.

- Ruche n°2 : Les abeilles commencent à travailler dans la 2ème hausse. Je vais être absent quelque semaines et j'ai mis en place une 3ème hausse avec des cadres gaufrés.

- Ruche n°5 : Dans la hausse il n'y a toujours pas d'abeilles. Une visite rapide de quelques cadres du corps m'a permit de constater qu'il y avait du couvain mais que la ruche n'était active que sur les 5 cadres de droite.

- ruchette : la colonie est très faible et n'occupe qu'un cadre. Le plus ennuyeux c'est qu'il n'y a que quelques cellules de couvain operculées (une dizaine) et que ce sont de faux-bourdons. Si reine il y avait dans l'essaim, et je pense qu'elle était présente car les abeilles étaient toutes rentrées dans la ruchette lors de la capture de l'essaim, elle n'a pas accompli son vol nuptial avec fécondation.

J'ai endormi la colonie avec une dose de nitrate d'ammonium dans l'enfumoir et j'ai vidé la colonie à 150m des ruches.


 

Mardi 17 juin. Récolte du pollen sur la ruche AMOP. J'ai mis la portière en position ouverte.

- Ruche n°2 : La ruche n°2 ayant été remise en bon état, je l'ai replacée sur le rucher et y ai transféré les cadres de la ruche n°6. Ce faisant j'ai constaté qu'il y avait un très beau couvain, abondant et très régulièrement disposé. Ceci est en bonne cohérence avec la forte récolte de pollen que l'on voyait ces derniers jours. On peut s'attendre à une colonie vigoureuse en juillet. Il est temps car la hausse est toujours vide.

- Ruche n°5 : J'en ai profité pour visiter cette ruche. Il y a beaucoup moins de couvain que dans la n°2 et il est dispersé. Il ne faudra pas espérer faire une bonne récolte cette année.

Dans la ruchette, les abeilles consomment lentement le sirop. Il va falloir surveiller de près cette colonie car elle paraît très faible.


 

Vendredi 13 juin. En passant par le stade Leduc pour aller chercher les clés du rucher de Meudon j'ai ramassé dans une benne Marel 4 piétements métalliques qui devaient servir pour des bancs et qui conviendront très bien comme support des ruchettes. J'ai immédiatement testé ma trouvaille sur la ruchette mise en place à Meudon le 7 juin. A noter que les abeilles sortent contrairement à ce qui se passait quelques jours après le recueil de l'essaim.

- Ruche n°6 : L'activité sur la planche d'envol est assez faible mais les abeilles rentrent du pollen ce qui laisse à penser qu'il y a du couvain à nourrir. La ruche n°2 a été remise en état et je vais bientôt la remettre à sa place et récupérer la n°6.

Dans les hausses des 2 ruches il n'y a pratiquement pas de fréquentation. Je me demande si la colonies vont être assez développées cette année pour démarrer le stockage du miel. Je pense qu'après l'essaimage j'aurais dû nourrir la demi colonie restante avec du sirop pour la stimuler un peu.


 

Mardi 10 juin.

- Ruche n°6 : J'ai mis à lécher la hausse extraite samedi dernier. Dans la hausse en place avant l'ajout de cette hausse à lécher il n'y avait pratiquement pas d'abeilles. Je pense que l'essaimage ayant eu lieu le 27 avril la colonie va bientôt être reconstituée et recommencera à stocker dans la hausse. J'ai enlevé la planche de fond pour faciliter l'aération. je n'ai pas constaté de chute de varroa.

- Ruche n°5 : Pas d'abeilles dans la hausse depuis le 20 avril date de l'essaimage.

La ruchette contenant l'essaim cueilli le samedi 7 juin a sa planche d'envol déserte. De temps en temps une abeille sort, marche un moment et entre à nouveau dans la ruchette. J'imagine que l'activité de bâtissage des cadres et de mise en stock du miel ingurgité avant le départ de leur colonie doit les accaparer à plein temps et qu'elles ne sortiront butiner que plus tard. Comme c'est un petit essaim (je pense que c'est un essaim secondaire) je vais bientôt leur donner du sirop de sucre.


 

Jeudi 5 juin. Avec l'aide de Claude Morel j'ai transféré la colonie de la ruche n°2, dont les planches se déformaient et qui avait besoin d'une remise en état, dans la ruche n°6 neuve. J'ai commencé par déplacer la n°2, mettre la n°6 vide à sa place et le transfert cadre après cadre s'est déroulé sans problème. Dès que j'ai installé la ruche n°6 vide à la place de la n°2, les butineuses ont commencé à y rentrer avant même le transfert des cadres. Mise en place d'une planchette sous le grillage pour que les abeilles n'aient pas trop de difficulté pour remettre le couvain à bonne température.

J'ai profité de cette manipulation pour prélever la hausse à extraire. L'extraction est programmée pour samedi 7 juin après midi pour ma hausse et celle de Pierre Sachoux dont c'est la première récolte depuis qu'il s'est remis à l'apiculture.


 

Mercredi 4 juin. Mise en place du chasse abeille sur la hausse pleine de la ruche n°2. Je récupèrerai la hausse vide d'abeilles demain après-midi.

Dans les 2 ruches les abeilles rentrent du pollen.


 

Mercredi 21 mai. Les ruches travaillant très peu j'ai voulu voir l'intérieur et j'ai donc visité tous les cadres.

- Ruche n°5 : Cette ruche a essaimé le 20 avril. C'est dans cette ruche que j'ai mis, le 7 mai, 5 cadres avec l'essaim qui en était parti le 20 avril. Il y a du miel sur les cadres mais peu de couvain. J'ai vu la reine, je suis donc rassuré et j'espère qu'elle va pondre pour renforcer la colonie. Je n'ai pas trouvé de cellules royales.

Dans la hausse il n'y a que quelques abeilles qui n'ont pas l'air très actives.

- Ruche n°2 : Cette ruche a essaimé le 27 avril. A l'intérieur c'est une désolation; il y a peu d'abeilles, à peine un peu de miel et pas de couvain visible (quand je dis visible cela signifie operculé). Mais en y réfléchissant, cela n'a rien d'étonnant.

    - 27 avril essaimage

    - 4 mai naissance de la nouvelle reine (env. 7 jours après essaimage)

    - 11 mai début de ponte (il faut environ 7 jours pour les fonctions génitales de la nouvelle reine soient complètement développées, qu'elle se fasse féconder au cours du vol nuptial et qu'elle commence à pondre)

    - 21 mai (aujourd'hui) tout début probable de la pose des opercules sur les alvéoles de la première ponte.

    - Et entre le 27 avril et le 21 mai tout le couvain laissé par l'ancienne reine est devenu imago, donc plus d'opercule.

Il n'est donc pas étonnant de ne pas trouver de couvain operculé !

Je n'ai trouvé que de vieilles cellules royales.

Dans la hausse il y a du miel sur tous les cadres et certains sont au quart operculés. Mais aucune abeille n'est présente pour continuer le travail de stockage entrepris avant l'essaimage.


 

Jeudi 15 mai.

- Ruche n°2 : Comme je vais être absent fin mai et début juin, j'ai mis une deuxième hausse. Dans la première il y a du miel de stocké par la colonie avant l'essaimage. Depuis rien n' a bougé mais je ne désespère pas de voir la colonie se renforcer et les butineuses reprendre le stockage de miel dans les hausses.

J'en ai profité pour enlever le plastique qui était placé sur les cadres du corps avec comme fonction d'empêcher la reine de monter pondre dans la hausse.


 

Mardi 13 mai.

Quelle désolation !

La ruche n°2 a une planche d'envol complètement déserte. On voit partir et arriver quelques abeilles.

Pour la ruche n°5 ce n'est guère mieux. Il y a quelques abeilles qui traînent sur la planche d'envol mais très peu de mouvement.

Ah... cet essaimage ! s'il est nécessaire à la pérennité de l'espèce, c'est une calamité pour celui qui se réjouit de voir une belle activité et attend de voir ses hausses se remplir de miel.


 

Mercredi 7 mai.

- Ruche n°5 : Après avoir ôté 5 cadres sans couvain, j'ai mis à la place les 5 cadres de la ruchette qui contenait l'essaim venant de cette même ruche et capturé le 20 avril. Je n'ai pas pu enlever la vieille reine car je ne l'ai pas trouvée. J'espère que, dans le combat des reines qui ne manquera pas d'avoir lieu, c'est la plus jeune qui l'emportera. En attendant j'ai mis une feuille de journal pour séparer momentanément les 2 colonies qui, je l'espère, n'en feront plus qu'une à cours terme.

- Ruche n°2 : Dans la hausse il y a quelques abeilles qui ont l'air de travailler.

 

Remarque sur le comportement animal. Dimanche 4 mai j'ai récolté le pollen sur la ruche AMOP et j'ai remis en place le tiroir (il restait un peu de pollen humide qui adhérait aux parois) et ouvert la porte pour que les abeilles puissent accéder à la ruche sans entrave. Aujourd'hui j'ai retrouvé ce tiroir au sol, sur un emplacement bien damé, dans les ronces à 2 mètres de la ruche et il était bien propre. Je ne vois que la renarde qui a pu faire cela ! Peut-être ressent-elle le besoin d'un peu de protéine végétale ? J'ai remis le tiroir en place en espérant qu'il y restera.


 

Lundi 28 avril. J'ai ouvert la ruche n°2 et fait les constatations suivantes.

Dans la hausse il y a du miel de stocké mais non operculé, un cadre central avec de nombreuses cellules de faux-bourdons toutes operculées et les 4 cadres gaufrés sont tous bâtis et contiennent du miel. J'ai constaté aussi que la feuille de polyéthylène censée empêcher la reine de monter dans la hausse avait été trouée en son centre. A l'avenir je prendrai une feuille plus épaisse. J'ai vérifié les feuilles dans les autres ruches mais c'est la seule qui a été percée.

Dans le corps j'ai visité quelques cadres et j'ai vu cette fois des cellules de reines qui étaient ouvertes. La visite était plus aisée car il y avait beaucoup moins d'abeilles. A l'avenir lorsque je rechercherai les cellules royales dans une ruche très populeuse je secouerai les cadres pour faire tomber les abeilles dans le corps avant inspection de chaque cadre.


 

Dimanche 27 avril. Vers 13h30 je vais faire un tour vers les ruches. En approchant j'entends un vrombissement caractéristique de nombreuses abeilles en vol. En cherchant je localise un essaim en plein milieu d'un roncier. Très inquiet je vais voir la hausse de la ruche n°2 et la constatation est sans appel. L'essaim provient de cette ruche car il n'y a plus d'abeille dans la hausse qui hier encore était noire d'abeilles.

Pendant une demi-heure j'ai coupé des ronces pour me frayer un passage jusqu'à l'essaim et je constate que l'essaim est énorme (vue de côté, vue de dessus et gros plan sur les abeilles) et ne tiendra pas dans une ruchette. Je vais donc chez moi chercher une ruche que j'ai en réserve. Le temps du trajet et de la préparation de la ruche a pris environ 3/4 d'heure. Quand je suis enfin de retour vers le roncier, très mauvaise surprise, l'essaim n'est plus là.

La ruchette que j'avais mise en place hier n'a pas intéressé les abeilles qui l'ont dédaignée.

J'ai été d'autant plus surpris par cet essaimage que le 22 avril j'avais sorti chaque cadre du corps de la ruche et vérifié qu'il n'y avait pas de cellules royales. Je n'en n'avais repéré aucune. Demain je vais l'ouvrir à nouveau pour une nouvelle inspection. Si vraiment il n'y a pas cellules royales, il faudra que j'opère un remèrage pour éviter que la colonie ne devienne bourdonneuse et vouée à la disparition. Si les cellules royales de la ruche n°5 n'ont pas encore éclos j'en prélèverai deux que je placerai sur des cadres à couvain.

Avant de quitter le rucher j'ai, sans enfumage car la manipulation était simple et les abeilles pratiquement absentes, légèrement ouvert la hausse et inspecté un cadre de rive. Il avait du miel dans les alvéoles non operculées. Après avoir tout remis en place j'ai regardé la planche d'envol et j'ai constaté qu'il y avait beaucoup d'abeilles et qu'elles battaient le rappel. Je ne comprends pas bien les raisons d'un tel comportement.


 

Samedi 26 avril. Je vais être absent une semaine, et au cas où un essaim venait à quitter nos ruches j'ai mis en place une ruchette avec 5 cadre gaufrés et de l'APICAPT pour l'accueillir.


 

Mardi 22 avril. Vers18h, avec Frank Clanet nous avons effectué les visites de printemps de toutes les ruches. Cela consiste à ouvrir la ruche, désolidariser le fond que l'on nettoie par grattage et au chalumeau, et visiter chacun des 10 cadres. L'opération a duré 2 heures.

Mes 2 ruches avaient un fond assez propre.

J'ai enlevé les languettes d'Apistan dans les deux ruches.

La ruche n°5, très peu peuplée après l'essaimage du 20 avril, est bien pourvue en réserves et couvain avec 6 très belles cellules de reine que j'ai laissées en place . Je vais attendre que la reine naisse, fasse son vol nuptial et commence à pondre (je pense que cela prendra deux semaines). A ce moment je réintroduirai l'essaim récupéré, duquel j'aurai enlevé la vieille reine. J'espère ainsi retrouver une ruche avec une colonie très forte. A suivre !

La ruche n°2 est superbe. Très forte population, un beau couvain, une bonne activité et une hausse bien peuplée par les abeilles. Pas de présence de cellules royales. Je m'attendais à cette absence de cellules royales car la colonie, ces jours derniers, se débarrassait des faux-bourdons.

A noter que les 2 cadres gaufrés que j'avais introduits dans chaque ruche le 24 février sont bien bâtis et utilisés.

Frank a installé une trappe à pollen sur une ruche AMOP.


 

Dimanche 20 avril. Vers 15h30, après avoir vu que dans les cerisiers et les pommiers il y avait de nombreuses butineuses, je suis allé voir l'activité sur les planches d'envol en pensant qu'elle serait très forte. Sur la ruche n°2 elle était effectivement forte mais il n'y avait que très peu de mouvement sur la ruche n°5. En regardant dans les hausses j'ai constaté une forte population pour la ruche n°2 mais une absence complète dans la ruche n°5 ce qui contrastait avec les jours précédents. J'ai de suite pensé à un essaimage et j'ai regardé dans les environs du rucher. Bien m'en a pris car il y avait un essaim dans les ronciers à 3 mètres de la ruche n°5. Il touchait presque le sol et était constitué par un mélange d'abeilles noires et d'abeilles jaunes. J'ai fait le nécessaire pour mettre cet essaim dans une ruchette que j'ai été mettre au rucher de Chaville.

Avec cet essaim je vais faire un essai; je vais enlever la reine quand il aura commencé a faire du couvain et je le remettrai dans la ruche d'où il est parti, qui devrait à ce moment avoir une jeune reine. J'enlèverai un certain nombre de cadres et je les remplacerai par les cadres de la ruchette avec les abeilles dessus.


 

 

Samedi 19 avril. A 13h30 il fait 15°C, un peu de vent, il y a des nuages mais aussi de belles périodes ensoleillées et l'activité fait plaisir à voir. Devant mes 2 ruches il y a beaucoup de faux-bourdons qui agonisent. Mais il en reste assez pour qu'on les voit aller et venir sur la planche d'envol. C'est le cas dans la ruche n°2 qui est la plus active des deux. Les abeilles rentrent avec de grosses pelotes de pollen. Dans la ruche n°5, outre une activité plus faible, les abeilles qui ramènent du pollen ont en général de petites pelotes. La différence d'activité des deux ruches se retrouve aussi au niveau de la fréquentation des hausses.


 

Mardi 15 avril. Il ne fait pas chaud (10°C) il y a du vent, de gros nuages avec quelques rayons de soleil qui passent de temps en temps.

Les ruches sont malgré ça assez actives. J'ai pris quelques photos d'abeilles, de la ruche n°2 et de la ruche n°5. On voit sur cette photo d'abeille la malformation de ses ailes due au DWV, (Deform Wing Virus), virus des ailes difformes.

Mais ce qui m'a le plus fait plaisir c'est de pouvoir capter une image de la renarde qui cohabite avec les ruches depuis 3 ans sans aucun problème. En examinant de près la photo je pense qu'elle est pleine (en général elle met bas 3 renardeaux chaque année).


 

Jeudi 10 avril. Vers 14h00 il fait soleil, peu de vent et environ 10°C. Très belle activité des abeilles, aussi bien pour la ruche n°2 que pour la ruche n°5. Dans les 2 ruches les abeilles vont dans les hausses mais elles n'y sont pas très nombreuses. Il y a quelques faux bourdons qui vont et viennent. Lorsqu'ils sortent de la ruche, ils se frottent longuement les antennes avec leur pattes antérieures avant de prendre leur envol.


 

Lundi 7 avril. Ce matin le cytise devant notre fenêtre est couvert par la neige tombée cette nuit.

Cet après-midi, la neige a fondu, le temps est  couvert avec quelques rayons de soleil et les abeilles butinent. L'activité de la ruche n°2 est faible mais celle de la ruche n°5 est bien plus soutenue. Dans les deux ruches les abeilles occupent les deux premiers cadres de rive des hausses côté sud c'est à dire côté soleil. La température doit y être plus élevée que côté nord.


 

Vendredi 4 avril. Température 14°C, du soleil et pas de vent. Très belle activité dans les deux ruches. Ça y est les abeilles travaillent dans les hausses. Comme j'ai placé pour chaque hausse une plaque de plexiglas comme couvre cadres, je peux voir l'intérieur sans déranger les abeilles. Elle ne sont pas encore très nombreuses mais j'ai constaté qu'elles commençaient à étirer les alvéoles sur le cadre de rive situé au sud. Comme l'a fait la ruche n°5 il y a quelques jours, la ruche n°2 semble aussi se débarrasser des mâles; il y a plusieurs faux bourdons qui agonisent sur le sol devant la planche d'envol.

Dès que le temps le permettra, j'ouvrirai les ruches pour vérifier qu'il n'y a pas de cellules royales.

En se promenant dans les rues de Meudon et Clamart on voit bien les butineuses sur les fleurs des arbres fruitiers, en particulier les cerisiers. Elles apprécient aussi beaucoup l'épine-vinette. Par contre je n'en ai vu que quelques unes butiner les fleurs de pissenlit.

 


 

Jeudi 3 avril. Aujourd'hui le temps est ensoleillé avec quelques nuages et 14°C. Les abeilles en profitent pour aller butiner ou faire leur vol d'orientation pour les plus jeunes. Le ruche n°2 est plus active que la ruche n°5. Mais elles ne fréquentent toujours pas les hausses.


 

Mercredi 2 avril. Par temps couvert, petites pluies sporadiques et 13°C, l'activité est faible. A remarquer que la ruche n°5 a un bon comportement concernant la propreté. J'ai assisté à une évacuation d'abeille mal formée (ailes atrophiées) par une ouvrière. J'ai également constaté qu'il y avait des larves de faux-bourdons qui avaient été sorties de la ruche. Il semble donc se confirmer que cette colonie considère qu'elle n'a pas pour le moment besoin de mâles. Peut être a t'elle renoncé à essaimer !!

Certaines ruches du rucher ne montraient aucune activité.


 

Jeudi 27 mars. En début d'après-midi il y a du soleil et des giboulées de pluie et grésil. Quand la pluie arrive les butineuses se dépêchent de rentrer se mettre à l'abri et les planches d'envol sont bien encombrées. Pour preuve, ruche n°2 et ruche n°5. Comme j'étais assis juste devant les ruches pour prendre des photos j'ai eu beaucoup de visites mais sans aucune agressivité.


 

Mercredi 26 mars. Le ciel est couvert, la pluie menace, il n'y a pas de vent et la température est de 10°C. En entrant sur le terrain du rucher j'ai vu de suite que les véroniques de Perse étaient ouvertes et qu'il y avait des butineuses. J'ai aussi vu le renard qui est là depuis plusieurs années (il s'agit d'une femelle qui donne le jour chaque année à 2 ou 3 renardeaux) mais elle s'est éclipsée dans un roncier avant que puisse la prendre en photo.

Au niveau des planche de vol, sur la ruche n°2 comme sur la ruche n°5, il y a une très belle activité. Sur la photo de la ruche n°5 on voit des abeilles mortes sur la plaque située devant la planche de vol; il s'agit essentiellement de faux bourdons (j'en ai compté une cinquantaine). Il semble se confirmer que la colonie a décidé de se débarrasser des mâles.

Pendant que je regardais l'activité des butineuses entrant et sortant des ruches j'ai eu la visite d'au moins une dizaine d'entre elles qui se sont posées sur mes mains, joue et oreille. En voici une qui ramenait de belles pelotes de pollen.


 

Lundi 24 mars. En début d'après-midi par temps couvert et venteux il n'y a aucune activité. Par contre sur la planche de vol j'ai trouvé plusieurs faux-bourdons morts ou moribonds. Est-ce que la colonie voyant que la météo est mauvaise a décidé de reporter à plus tard l'essaimage et dans ces conditions ne voit plus l'utilité de mâles, ou bien est-ce seulement une précaution pour éliminer les bouches à nourrir compte tenu de la faible récolte de ces derniers jours?


 

Dimanche 23 mars. Vers 14h00, visite au rucher. En passant la grille de l'enclos où se trouvent les ruches, j'ai constaté que les véroniques de Perse étaient ouvertes et qu'elles étaient visitées, comme le muscari, par les butineuses . Sur la planche de vol des 2 ruches il y a une activité moyenne avec des rentrées de pollen. Il ne fait pourtant que 6°C avec un soleil intermittent, mais sans vent. Je ne pensais pas que les butineuses sortaient travailler à une aussi basse température.


 

Jeudi 20 mars. Vers 14h30 il fait 8°C avec du soleil. Belle activité sur les planches d'envol de toutes les ruches. Voici des photos de la ruche n°2 et de la ruche n°5.


 

Mercredi 19 mars. Mise en place sur la ruche AMOP située en bordure du rucher (c'est celle que nous avons transféré du rucher de Jouy en 2007) d'un pain de candi que mes abeilles n'avaient pas complètement consommé.

Il fait froid, il pleuvine et il n'y a aucune activité extérieure des abeilles.


 

Vendredi 14 mars. La température étant clémente, j'ai visité les deux ruches en sortant et examinant tous les cadres.

J'ai fait les mêmes constatations dans les 2 ruches. Les compagnies sont nombreuses et il y a un beau couvain. Il y a quelques alvéoles de faux-bourdons mais aucune cellule royale. Sur les 2 ruches j'ai mis en place la feuille de plastique (qui doit empêcher la reine de monter) et une hausse contenant 5 cadres bâtis et 4 cadres gaufrés.

Les abeilles étaient laborieuses et calmes.

Dans l'une des ruches il y avait un cadre dont une planchette verticale était désolidarisée du tasseau porteur horizontal. J'avais préparé le matériel (3 perceuses, une avec un forêt pour percer, une avec une fraise pour éviter que la tête de vis ne dépasse, et une avec un cruciforme). J'ai percé, fraisé et vissé sans que les abeilles ne réagissent. Le cadre est maintenant bien remis et solide.


 

Lundi 10 mars. La journée est agitée avec vent, pluie et quelques accalmies très courtes. Il n'y a aucune activité sur les planches de vol.

J'ai contrôlé les pains de candi que j'avais placés sur la ruche n°2 et sur la ruche n°5. Le candi est pratiquement épuisé ce qui ne porte pas à conséquence car il y a des floraisons et les abeilles, quand le temps est propice, rapportent du nectar. Lors de ma visite du 24 février j'avais constaté que les cadres étaient bien pourvus en miel.


 

Vendredi 7 mars. A 13h30 il fait 10°C avec un ciel couvert. Il y a une bonne activité des abeilles aussi bien dans la ruche n°5 que dans la ruche n°2. Beaucoup de rentrée de pollen.

Toutes les abeilles qui travaillent sont pratiquement nées cette année. Il semble que les abeilles d'hiver ont disparu.


 

Dimanche 2 mars. Vers 14h00, il fait doux avec un ciel couvert. Cela ne décourage pas les abeilles qui montrent une très forte activité et rentrent beaucoup de pollen. A trois reprises une abeille s'est posée sur ma main avant de rentrer à la ruche. Toutes trois étaient de jeunes abeilles car elles avaient une forte pilosité.

Quel plaisir de voir le va et vient et la détermination des abeilles à récolter nectar et pollen pour renforcer la colonie.

Il va falloir avancer le calendrier des visites car il y a au moins 3 semaines d'avance et je ne voudrais pas avoir d'essaimage cette année. L'an dernier toutes les ruches ont essaimé et les reines sont donc jeunes et doivent pouvoir pondre abondamment.

A partir d'aujourd'hui, sitôt les conditions météo favorables, je ferai les visites de printemps pour nettoyer les fonds de ruches, vérifier l'état des cadres et du couvain et ne pas laisser les cellules royales s'il y en a.


 

Dimanche 24 février. Comme la température est douce et qu'il fait un beau soleil sans vent, je suis allé échanger deux cadres dans chaque ruche contre des cadres gaufrés. Cela permet aux ouvrières de faire travailler leur glandes cirières.

J'ai pu constater que les ruches sont bien pourvues en réserves de miel et que les colonies sont fortes.

A noter que dans la ruche n°2 j'ai soulevé un cadre qui est abîmé en pensant le remplacer par un cadre neuf. Ce cadre était recouvert de couvain operculé et je l'ai remis en place sans le toucher. Photo de la planche de vol

J'en ai profité pour modifier l'abreuvoir. J'ai ôté la planche inclinée et je l'ai remplacée par une grille en polyéthylène qui flotte et devrait éviter aux abeilles de se noyer (à suivre pour voir si les résultats sont conformes aux prévisions).


 

Dimanche 17 février. Vers 15h30, toutes les ruches sont actives avec rentrée de pollen. En quittant le rucher j'ai vu que les abeilles butinaient les fleurs du prunus blanc situé près du portail d'entrée.


 

Samedi 16 février. Visite vers 16h00, il ne fait que quelques degrés au dessus de zéro et il y a un peu de vent. Surprise ! la ruche n°5 est active. Par contre je n'y a pas de rentrée de pollen. En regardant le pain de candi j'ai vu qu'il n'y avait strictement plus rien à manger. Comment expliquer que les butineuses sortent alors que la température est très basse; est-ce parce qu'il y a du couvain à nourrir et plus de réserves de miel ? J'ai mis en place un pain de candi neuf.

Le pain de candi de la ruche n°2 est à peine entamé.

En vérifiant les planchettes sous les ruches je constate des déchets épars sur toute la surface et pas de varroa. Il semble donc que les traitements à l'APISTAN sont efficaces et que les colonies travaillent dans tout le volume de la ruche.


 

Mardi 12 février. Visite de routine. Toujours un beau soleil et temps calme. Les abeilles sont actives mais contrairement à ce qui se passait précédemment elles ne volètent pas devant les ruches mais partent directement chercher nectar et pollen. J'en ai profité pour contrôler la consommation du candi.

    - ruche n°2 : petite consommation

    - ruche n°5 : elles ont pratiquement tout consommé et on constate qu'elles ont commencé à bâtir juste en face du trou d'accès (photo du pain de candi)


 

Mercredi 6 février. Visite de routine. Il fait soleil, un peu de vent et 10°C. Très belle activité devant toutes les ruches. Il y a des rentrées de pollen.


 

Samedi 2 février. La température est de 7°C. Il n'y a pas de vent et le soleil brille.

Mise en place dans chacune des deux ruches de 2 languettes d'Apistan. Cela devrait maintenir la population du varroa à un niveau acceptable pour le bon développement du couvain. Il faut que les colonies soient très fortes au moment de l'éclosion des fleurs mellifères.

L'ouverture de la ruche et la pose des languettes ont été faites le plus rapidement possible mais tout en douceur pour ne pas incommoder les pensionnaires. Les colonies semblent en bonne forme et il semble qu'il y ait encore des réserves sur les cadres pour autant qu'on puisse en juger sans sortir ces cadres.

Les pains de candi sont entamés, plus sur la ruche n°5 que sur la n°2.


 

Samedi 26 janvier. La température est de 8°C avec du soleil.

J'ai mis en place les planchettes de fond de corps car il gèle la nuit et il y a certainement du couvain à tenir au chaud.

Il y a de nombreuses abeilles qui volent devant les 2 ruches.


 

Vendredi 25 janvier. Ciel bleu, beau soleil, pas de vent, la température est de 9°C.

Très peu d'activité dans mes deux ruches mais je note que parmi les quelques abeilles qui travaillent à l'extérieur, 8 sur 10 ramènent du pollen (couleur beige).


 

Lundi 21 janvier. Le temps est couvert avec une légère brise et il fait 9°C. Aucune activité des abeilles dans le rucher.

J'ai mis en place un abreuvoir "fabrication maison" pour que l'approvisionnement en eau ne soit pas une corvée pour les abeilles. Quand il sera utilisé par les abeilles je prendrai une photo.


 

Samedi 19 janvier. Temps couvert mais assez lumineux, température douce (12°C). Le rucher est bien réveillé, toutes les ruches sont actives. Parmi les abeilles qui sortent il y en a quelques unes qui manifestement font un vol de reconnaissance et/ou d'hygiène, mais la plupart partent loin de façon très déterminée. Il y a des rentrées de pollen (contrairement à ce que j'ai vu hier à Chaville celui-ci n'est pas beige mais jaune clair). Je ne vais pas tarder à installer un abreuvoir car la reine a dû commencer à pondre et le couvain va avoir besoin d'eau.

      - Ruche n°2 : Les abeilles ont consommé le candi, elles sont  arrivées au niveau de la paroi plastique supérieure. La planche de vol est très empruntée.

      - Ruche n°5 : Elle continuent à consommer le candi, sont actives sur la planche de vol.


 

Samedi 12 janvier. Il fait soleil, 9°C et pas de vent. Il y a de l'activité sur les planches de vol des deux ruches.

    - Ruche n°2 : Si les abeilles consomment le candi, elles ne sont pas encore arrivées au niveau de la paroi plastique supérieure.

    - Ruche n°5 : La colonie avait faim car sur un diamètre de 5cm elles ont mangé jusqu'au plastique. On les voit bien, elles sont
             nombreuses, occupées à manger. D'autre part elles font bien le ménage, j'ai assisté à l'évacuation d'une abeille morte.


 

Samedi 5 janvier. La température est d'environ 10°C et le ciel est nuageux et sans vent. Il n'y a aucune activité sur les planches de vol. Mise en place d'un pain de candi sur chaque ruche.

Lors de la mise en hivernage des ruches j'ai placé, entre les cadres et la planche de toit, un contreplaqué avec un trou central de 5cm de diamètre. Ce trou est obturé par une feuille plastique. Pour mettre en place le pain de candi il suffit de retirer la feuille plastique et de poser sur le trou ainsi dégagé le pain préalablement entaillé. La manipulation est très rapide et ne dérange pas les abeilles.

    - Ruches n°2 et n°5 : Les abeilles sont au trou de nourrissage, on ne peut pas voir l'intérieur de la ruche. Il faut mettre rapidement en
          place le pain de candi car elles sortent très vite de la ruche. J'ai mis mon voile car les gardiennes étaient agressives.


 

Mardi 1er janvier 2008. J'ai mis en place des plaques en ciment devant les ruches pour empêcher l'herbe de pousser devant la planche de vol.

Ruche n°2 : il y avait une dizaine d'abeilles mortes sur la planche de vol. C'est un mauvais signe, après les deux flaques liquides que j'avais
         trouvées sur la planchette sous la ruche lors de ma visite précédente en fin d'année dernière. A suivre.....