Rucher de Meudon

 

Activité du rucher en 2007

 

Mardi 1er janvier 2008. J'ai mis en place des plaques devant les ruches pour empêcher l'herbe de pousser devant la planche de vol.

Ruche n°2 : il y avait une dizaine d'abeilles mortes sur la planche de vol. C'est un mauvais signe, après les deux flaques liquides que j'avais trouvées sur la planchette lors de ma visite précédente. A suivre.....

 

Mercredi 26 décembre. Contrôle du varroa tombé sur les planchettes = nettement moins de 1 individu/jour. Je ne traiterai donc pas par dégouttement à l'acide oxalique cette année.

Ruche n°5 : il semble que la colonie est faible car les chutes de cire ne sont que sur trois travées.

Ruche n°2 : la colonie doit être assez forte car les chutes de cire sont sur 5 travées. Par contre j'ai noté la présence de deux flaques de liquide sur la planchette. J'espère que ce n'est que de la condensation et non pas des déjections d'abeilles.

Je ne remets pas les planchettes, je laisse la grille de fond à l'air libre pour assurer une bonne ventilation dans le corps de ruche..

 

Lundi 17 décembre. Contrôle du varroa tombé sur les planchettes (moins de 1 varroa/jour) et remise en place des planchettes après leur nettoyage.

 

Vendredi 16 novembre. Mise en place d’un panneau en mousse de polyuréthane sous le toit des ruches pour diminuer les déperditions de chaleur.

 

Dimanche 11 novembre. Il ne doit plus rester beaucoup de couvain et compte tenu que les abeilles craignent plus l’humidité que le froid j’ai enlevé les planchettes de fond de corps de ruche pour faciliter la ventilation.

 

Mercredi 31 octobre. Visite d’automne avec retrait des lanières Apistan. Tout semble bien en état et il y a très peu de varroa tombé sur la planchette sous la grille du fond de corps de ruche.

 

Samedi 20 octobre. Mise en place de planchette de fond de ruche ce qui évitera les courants d’air alors qu’il y a encore du couvain.

 

Lundi 15 octobre. J’ai récupéré les 3 hausses mises à lécher il y a 48 heures. Il y a des cadres sur lesquels il y a encore du miel que j’ai regroupés dans une hausse. Je vais la mettre à lécher sur la ruche n°3 de Chaville.

 

Samedi 13 octobre. Début septembre, j’avais donné plusieurs hausses à Pierre Sachoux pour les faire lécher par ses abeilles. Il ne les a pas enlevées 48 heures après, et les abeilles ont commencé à stocker du miel. Il les a donc laissées en place jusqu’à la semaine dernière. Il y a des rayons avec du miel non operculé.

J’ai placé 2 hausses sur la ruche n°2 et 1 hausse sur la ruche n°5 en laissant entre les corps et les hausses un contreplaqué percé d’un trou de 5 mm de diamètre. J’irai les récupérer dans 2 jours si elles ont été vidées.

Il y a une belle activité des butineuses dans mes deux ruches. Elles rentrent beaucoup de pollen et j’espère qu’il y a un beau couvain. On vérifiera cela lors de la visite d’automne !

 

Mardi 2 octobre. En début d’après-midi j’ai mis à lécher sur la ruche AMOP, contenant la colonie de Carnica, les 2 hausses qui ont servi à la démonstration d’extraction à la Maison de la Nature le 30 septembre.

J’en ai profité pour donner 1 litre de sirop stimulant à mes abeilles.

Le temps était couvert et doux et il y avait une bonne activité dans toutes les ruches avec un peu de rentrée de pollen.

En partant du rucher je suis passé vers un lierre et j’ai constaté qu’il était bien fleuri et que le butinage allait bon train.

 

Samedi 29 septembre.

Visite de routine vers 15h00, par temps couvert, sans vent, avec une température d’environ 15°C.

Bonne activité générale avec en particulier pour les ruches de Frank et moi-même beaucoup de rentrée de pollen. C’est bon signe, la reine a dû bien pondre et cela augure d’une colonie bien forte pour le passage de l’hiver à venir.

 

Jeudi 20 septembre. En début d’après-midi j’ai donné aux abeilles la dernière dose de 20 cl de sirop stimulant.

Il y avait une belle activité dans toutes les ruches avec rentrée de pollen.

 

Dimanche 16 septembre. Vers 11h00, mise en place de 2 lanières d’Apistan dans chaque ruche, et comme chaque jour de 20cl de sirop stimulant.

Les 2 ruches montrent une bonne activité avec rentrée de pollen. Il y a aussi beaucoup d’abeilles qui volètent devant les ruches.

 

Jeudi 13 septembre. Avec Frank Clanet visite des ruches AMOP, en particulier celle qui a deux hausses. Une hausse est vide, l’autre est  à peu près pleine. Je la prélèverai pour en extraire le miel à la Maison de la Nature de Meudon le 30 septembre.

Ma ruche n°2 n’est pas très peuplée, il y a un peu de couvain.

Ma ruche n°5 est bien peuplée avec un beau couvain.

Il semble que le nourrissage stimulant porte ses fruits.

 

Samedi 8 septembre. Vers 14h00, sous les grillages des 2 fonds de ruche, j’ai mis en place un contreplaqué peint en blanc sur lequel j’ai tracé des carrés de 10cm de côté. J’irai compter dans quelques jours le nombre de varroa qui sera tombé sur ces planches.

 

Jeudi 6 septembre. Aujourd’hui il y a une belle activité de mes deux ruches. Beaucoup de mouvement et rentrée de pollen.

Ca y est, je connais le nom de cette plante mellifère située dans l’allée Brignole-Galliera ; c’est une Renouée du Japon (Reynoutria japonica).

 

Dimanche 2 septembre.

Ruche n°5 : elles consomme bien tout le sirop que je leur fourni chaque jour. Quand j’arrive avec mon petit bocal de sirop, j’ai même l’impression d’être attendu !

Ruche n°2 : Ouf, ça y est, il semble que les abeilles ont fini par trouver le sirop à leur goût. Elles ont rattrapé leur retard et elles ont pratiquement tout consommé.

Dans l’allée Brignole-Galliera qui longe le terrain où se trouve le rucher, il y a une plante arbuste dont je ne connaît pas le nom qui fait maintenant 4 mètres de haut sur 35 mètres de longueur. En hiver il n’y a plus rien, même pas de tronc, et chaque printemps ça repart. En ce moment il y a beaucoup de petites fleurs blanches disposées en épis (une peu comme les fleurs de châtaignier) qui doivent être très mellifères car c’est un vrombissement continu d’abeilles, de bourdons, de guêpes, de taons et autres insectes divers.

 

Vendredi 31 août. Comme j’ai prévu de le faire chaque jour pendant 3 semaines, je suis allé donner les 20cl de sirop dans chaque ruche. J’ai fait une constatation étonnante car je n’ai pas d’explication ; dans la ruche n°2 le sirop mis précédemment n’a pas été consommé, par contre il y a une dizaine d’abeilles mortes au contact du sirop. Dans la ruche n°5 tout est consommé et dès que j’ai réapprovisionné les abeilles viennent en nombre pour consommer. C’est pourtant le même sirop et les nourrisseurs sont identiques !!

Si quelqu’un a une idée sur la question, je suis très intéressé.

J’ai extrait le miel des hausses récoltées le 29 août ; résultat 32 kg. Au total pour cette année 2007 j’aurai récolté 68,5 kg de miel sur Meudon. Avec Chaville et Jouy en Josas le total monte à 150 kg. C’est ma plus belle récolte depuis le début de mon activité apicole (c’est ma troisième saison).

 

Jeudi 30 août. Hier j’ai récupéré les hausses et mis en place les nourrisseurs avec un fond de sirop.

Aujourd’hui je suis allé, comme je vais le faire chaque jour, pour mettre 20cl de sirop dans chaque nourrisseur. J’ai commencé par ouvrir le nourrisseur de la ruche n°2 et j’ai constaté que les abeilles n’avaient pas touché au sirop.

Dans la ruche n°5 elles l’ont trouvé à leur goût et ont tout consommé. Il y avait une forte activité avec rentrée de pollen conséquente.

 

Mardi 28 août. Je suis allé placer des chasse-abeilles sur les deux ruches.

Pour la ruche n°2, sur les deux hausses il y en a une de bien garnie, l’autre étant vide.

Pour la ruche n°5, les deux hausses sont bien pleines.

Pour les deux ruches les colonies semblent assez fortes (en nombre). Je ne les ai pas visitées pour voir si il y avait du couvain. Dès que j’aurai récupéré les hausses je vais leur donner pendant 3 semaines un nourrissage stimulant avec de l’Apiforme (varroa) et quelques gouttes d’huile essentielle de clou de girofle.

 

Lundi 20 août. Visite des planches de vol. Il fait 18°C, le ciel est couvert avec de temps en temps un peu de pluie.

Ruche n°2, très peu d’activité avec un peu de rentrée de pollen.

Ruche n°5, activité moyenne avec forte rentrée de pollen (plus d’une abeille sur deux ramènent du pollen).

Devant les planches de vols il y a des guêpes. Elles n’attaquent pas des abeilles valides mais dès qu’elles trouvent un individu très affaibli, elles « s’en font un régal », comme on dit dans le midi !

 

Samedi 21 juillet. Visite des hausses.

Ruche n°2, il y a du miel de stocké dans la 1ère hausse mais très peu operculé. Très peu de provisions dans la 2ème hausse.

Ruche n°5, il y a du miel stocké dans les 2 hausses mais il est également peu operculé. Sur les cadres centraux de la 1ère hausse, celle en contact direct avec le corps de ruche, il y a du couvain, principalement de mâle.

 

Mercredi 18 juillet. Il est 15h30, le temps est doux et ensoleillé. Les ruches n°2 et n°5 ont chacune deux hausses. Avec le couvre cadre en plexiglas je peux voir la hausse du dessus.

Dans la n°2 une fréquentation faible, par contre dans la n°5 il y a beaucoup d’abeilles. Cela veut-il dire que la hausse du dessous est pleine ?

La planche d’envol de la n°2 montre une faible activité. Celle de la n°5 est couverte d’abeilles et il y a un va et vient important des butineuses.

 

Vendredi 22 juin. Prélèvement de 2 hausses pour extraction. Récolte de 32 kg de miel. La ruche n°5 constituée avec deux essaims récoltés en début du mois de mai a bien produit.

 

Jeudi 31 mai. J’ai enlevé la hausse que j’avais mis à lécher sur la ruche n°2 pour la placer sur la ruche n°5. J’en ai profité pour regarder quelques rayons de corps et il y a du couvain dans la ruche n°2, la n°5 et la ruchette qui contient l’essaim prélevé à Chaville le 9 mai. Hier j’ai mis dans le rucher de Meudon une ruchette avec un petit essaim prélevé le jour même à Boulogne-Billancourt.

 

Jeudi 10 mai. Je suis allé voir comment se comportait l’essaim prélevé hier à Chaville. Sur la planche de vol de la ruchette il y a une faible activité. Dans la ruchette, à travers le couvre cadres en plexiglas j’ai constaté que les abeilles étaient calmes et bien affairées.

Quant à la ruche n°5, j’ai pu voir, toujours à travers le couvre cadres en plexiglas que les 10 cadres étaient bâtis dans leur partie supérieure, la seule partie que je peux voir sans ouvrir. Je ne serais pas étonné de récolter du miel sur cette ruche cette année (si elle n’essaime pas !). Je ne sais pas à partir de quel moment il va falloir que je visite régulièrement les cadres à la recherche de cellules royales, mais je vais me renseigner.

 

Mercredi 9 mai. Mise en place pour une période transitoire de la ruchette avec l’essaim récupéré ce jour dans les vignes de Chaville. Cette ruchette était chargée avec 1 cadre de corps et 4 cadres de hausse (j’étais en rupture de stock de cadres de corps). Comme ce soir je suis passé récupérer une de mes ruchettes chez Yves Gagnaire, j’ai du même coup retrouvé des cadres de corps. J’ai donc remplacé les 4 cadres de hausse par 4 cadres de corps. Ainsi cette colonie pourra être mise en ruche avec les cadres qu’elle aura commencé à bâtir.

Sur la ruche n°2 j’ai mis une hausse à lécher.

 

Dimanche 6 mai. Le 28 avril j’ai mis en place, de manière transitoire, la ruche n°5 sur le rucher de Meudon. J’y ai transféré l’essaim récupéré la veille à Chaville sur 5 cadres gaufrés. Le 2 mai j’y ai ajouté l’essaim récupéré la veille rue Berthollet à Paris (5ème), avec également ses 5 cadres gaufrés. J’avais placé entre les deux colonies une feuille de papier journal. Deux jours après j’ai constaté que cette feuille était en cours de destruction et je l’ai enlevée. Les deux colonies initiales ne faisaient plus qu’une.

Je suis venu mettre en place un plexiglas qui me permettra de voir le comportement de la colonie sans la déranger. J’en ai profité pour prendre une photo qui montre le travail des cirières.  A gauche, les cadres de couleurs claires sont ceux qui étaient occupés par le 1er essaim, en provenance de Chaville; à droite les cadres de couleurs plus foncées sont ceux qui étaient occupés par l’essaim en provenance de Paris. On voit très bien que les abeilles bâtissent les cadres et que l’empreinte des deux essaims initiaux est encore visible car il y a un espace non travaillé entre les cadres bâtis.

A noter que cette colonie est très agressive. Elle attaque même les personnes qui sont à plusieurs dizaines de mètres du rucher alors que personne ne les dérange.

 

Jeudi 3 mai. Visite de la hausse et du corps de ruche pour vérifier la présence de cellules royales.

J’ai trouvé dans la ruche n°2 de vieilles cellules royales vides que je n’avais pas décelées lors de ma dernière visite, ce qui confirme qu’il y a eu un essaimage. Ceci me confirme la difficulté à déceler toutes les cellules royales qui sont souvent cachées sous un amas d’abeilles et à l’avenir je redoublerai d’attention lors de mes contrôles.

Dans la hausse, j’ai prélevé 3 cadres remplis de miel et operculés pour une prochaine extraction. J’ai mis à leur place des cadres gaufrés.

Je regrette l’essaimage car en ce moment il y a une excellente miellée sur les robiniers faux acacias

Après extraction j’ai obtenu 4,400 kg de miel.

 

Lundi 23 avril. J’ai eu une conversation téléphonique avec un apiculteur qui pratique l’apiculture intensive, à qui j’ai expliqué que la colonie qui stockait très vite beaucoup de miel a brusquement cessé cette activité. Il explique cela par un essaimage probable. J’ai donc visité la ruche. La première hausse est très lourde, pleine de miel mais pas complètement operculée. Il y a quelques cellules de couvain dans le bas de 3 cadres situés au centre de la hausse. Les abeilles n’ont pas touché la deuxième hausse.

Lors de la visite du corps j’ai détruit 5 à 6 cellules royales. Ce sont des cellules qui sont très allongées, de couleur sombre et il n’y a pas de larve à l’intérieur. C’est très certainement des cellules dont les larves ont été tuées par une reine qui venait d’éclore. La population d’abeille dans la ruche n’est pas très importante, il y a eu manifestement un essaimage. J’ai constaté que le cadre gaufré mis en place le 6 avril est bâti et plein de couvain. Le couvain couvre pratiquement tout le cadre, il n’y a pas de miel stocké comme d’habitude.

Compte tenu de cette expérience je vais visiter rapidement mes 3 autres ruches.

 

Mardi 17 avril. Avec Frank Clanet.

Ruche AMOP Carnica : changement du fond de ruche ; mise en place d’une feuille de polyéthylène plastique (technique Claude Paillard) sur les cadres du corps et d’une hausse sur laquelle on a posé une vitre d’observation.

Ruche AMOP en provenance de Jouy : elles ont bien travaillé mais le corps n’est pas encore tout à fait plein. On note la présence de cellules de mâles sur le haut des cadres et dessous il y a du couvain d’ouvrières. Nettoyage du fond de ruche ; mise en place d’une feuille plastique (technique Claude Paillard) sur les cadres du corps et d’une hausse fermée par une vitre d’observation.

Ruche de Frank : mise en place d’une feuille plastique (technique Claude Paillard) sur les cadres du corps et d’une hausse. Mise en place d’une vitre d’observation.

Ma ruche n°2 : visite des cadres de la hausse qui sont bien garnis en miel. Malheureusement, les abeilles ayant déchiqueté la feuille de plastique à bulles, il y a du couvain dans les cadres centraux de la hausse. Mise en place d’une seconde hausse avec des cadres gaufrés, et d’une vitre d’observation.

 

Samedi 14 avril. J’ai regardé la hausse à travers la plaque de plexiglas utilisé comme couvre cadres. Il y avait beaucoup d’abeilles au travail et les rayons de cire dépassent largement l’épaisseur du bois des cadres. Il semble qu’il y a une bonne quantité de miel stocké dans cette hausse. Cette semaine je vais mettre en place une hausse supplémentaire en espérant que les robiniers (faux acacias) fleuriront très bientôt.

En ce moment devant ma fenêtre le cytise est en fleur et le butinage est intense. Les abeilles visitent aussi les glycines pour le nectar et la ceanothe pour le pollen.

 

Vendredi 6 avril. A 19h30 ouverture de la ruche pour voir s’il y a des cellules royales. Je n’en ai pas trouvé. Par contre il y a quelques très grosses cellules (de mâles probablement). J’avais déjà vu des cellules de faux-bourdon qui étaient à peine plus grosses que des cellules d’ouvrière mais avec un opercule très proéminent. Il y a 6 cadres de couvain mais il n’est pas bien régulier. A noter aussi un nombre très important d’abeilles.

J’avais mis sur les cadres une feuille plastique à bulles (qui sert à caler et à protéger les objets dans un paquet). Les abeilles ont tout déchiqueté. J’ai enlevé les lambeaux qui restaient et je n’ai rien mis à la place.

J’ai enlevé un cadre chargé de miel que j’ai remplacé par un cadre de cire gaufrée.

Dans la hausse les cadres sont pratiquement tous bâtis. Les abeilles ont commencé à y stocker du miel.

 

Jeudi 5 avril. Vers 16h30 il fait beau et la ruche est active. Il y a des faux-bourdons qui sortent (ce sont les premiers que je vois cette année). Les abeilles sont assez nombreuses dans la hausse.

En regardant le bas des cadres de corps à travers la grille de fond, j’ai vu une grappe d’abeilles. J’avais vu le même phénomène l’an dernier quelques temps avant un essaimage. Je vais donc, sans trop tarder, faire une visite et détruire les cellules royales s’il y en a.

 

Dimanche 1er avril. Une visite de la  planche de vol montre que les abeilles sont très actives et rentrent beaucoup de pollen. Il est 15h00, il fait soleil, il n’y a pas de vent et la température est d’environ 15°C. A travers le plexiglas j’ai regardé les cadres des hausses et je remarque une très forte fréquentation.

 

Lundi 26 mars. Sur la ruche 2, mise en place d’une feuille plastique sur les cadres du corps en laissant libres 2 travées sur chaque rive. La colonie est très vigoureuse et les cadres de rive sont chargés de miel.

Pose d’une hausse avec des cadres bâtis à l’exception des cadres 2, 3, 7 et 8 qui ont de la cire gaufrée.

 

Jeudi 15 mars. Le nourrisseur est vide, les abeilles ont consommé les 2 litres de sirop. Forte activité sur la planche de vol avec toujours beaucoup de rentrée de pollen.

 

Mardi 13 mars. Visite au rucher pour constater que les abeilles trouvent le sirop à leur goût. Toujours beaucoup de rentrée de pollen. La ruche a l’air très pleine et il doit y avoir beaucoup de couvain. Je vais vérifier ça dans peu de temps lors de la visite de printemps. Je pense mettre très rapidement une hausse avec des cadres à bâtir car les jeunes ouvrières seront disponibles dans peu de temps. Il doit même y en avoir maintenant car j’ai constaté qu’elles avaient bâti des cellules dans le plastique qui contenait le candi.

 

Lundi 12 mars. Sur la ruche n°2, pose d’un nourrisseur avec 2 litres de sirop et sa dose d’Apiforme. Activité moyenne des abeilles.

On peut noter un dérèglement de la végétation. Comme exemple ce pissenlit avec des boutons, des fleurs et des graines. J’ai aussi revu le pivert qui était déjà vers le rucher l’an dernier. A noter qu’il n’a jamais dérangé les abeilles. On peut dire que c’est un pivert très urbain !

 

Mercredi 7 mars. Vers 15h00 il y a une belle activité. Je me suis assis en face des ruches pour profiter du spectacle et une butineuse est venue se poser sur ma main gauche. Avec ma main libre j’ai pris mon appareil photo et j’ai pris quelques clichés. Elle s’est promenée pendant plusieurs minutes avant de prendre son envol. A un moment elle a sorti sa langue peut-être pour connaître le goût de mon épiderme (il valait mieux pour moi qu’elle sorte plutôt sa langue que son dard).

Vers 19h30 je suis retourné au rucher pour fermer les entrées des deux ruchettes (n°1 et 2), bien les sangler et les mettre dans la malle de ma voiture. Elles passeront la nuit au garage et demain en début d’après-midi j’irai transférer les 2 colonies dans la ruche n°4 vide qui est au rucher de Jouy en Josas.

Nota : j’ai constaté entre mes deux visites que des cailloux avaient encore étaient lancés sur les ruches. Je l’ai signalé à l’agent de sécurité lorsque je lui ai rendu les clés.

 

Samedi 24 février. Visite au rucher vers 14h30. Il faisait 14°C, un soleil intermittent et du vent. Les abeilles sont très actives; en voici un exemple avec la photo de ma ruchette n°1.

La ruche AMOP que l’on a mis en place hier est aussi très active.

 

Vendredi 23 février. Avec Frank Clanet nous avons mis en place une ruche AMOP que nous avons prélevée au rucher de Jouy en Josas.

 

Lundi 19 février. Transfert de la ruche n°1 de Meudon à Chaville. Tout s’est bien passé.

 

Vendredi 16 février. Sur la ruchette n°1, le pain de candi est pratiquement tout consommé. A ma prochaine visite j’en mettrai un nouveau. Il doit y avoir du couvain car l’approvisionnement en pollen est important.

Il y a une bonne activité des abeilles dans l’ensemble du rucher.

 

Vendredi 9 février. Sur la ruchette n°2, mise en place d’un nouveau pain de candi car celui en place était pratiquement terminé.

 

Samedi 3 février. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 2 jours = 0 individus.

Je considère que l’acide oxalique par dégouttement a fait bon effet sur le varroa. J’arrête le comptage et je range le linge blanc que je plaçais sous la ruche pour récupérer les parasites tombés.

 

Graphique. A noter sur la courbe les deux points aberrants des 11 et 12 janvier avec des valeurs faibles. Il y avait pendant ces 2 jours un vent très fort et le varroa a dû être soufflé avant de tomber sur le linge.

 

Jeudi 1er février. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 3 jours = 0 individus.

Il semble que la colonie de varroa présente dans la ruche est très faible et ceci est une bonne nouvelle.

Par contre j’ai constaté un acte de vandalisme sur la ruchette n°2 dont le gros pavé (habituellement posé sur le toit pour lester), le toit en tôle et la hausse étaient sur le sol. Des pierres ont été lancées, qui ont cassé un carreau de faïence que j’avais placé sous la planche d’envol. De plus on voit bien que la ruchette a été déplacée sur son support.

Ca y est, les abeilles ont bien entamé le candi dans la ruche n°2.

 

Lundi 29 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 1 individus.

 

Dimanche 28 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 0 individus.

Il n’y a pas de soleil et quelques degrés au dessus de zéro (~6°) et aucune activité des abeilles.

 

Samedi 27 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 1 individus.

Il fait soleil et quelques degrés au dessus de zéro (~6°) et il y a une bonne activité des abeilles.

 

Vendredi 26 janvier. Hier j’ai mis la planche avec le linge blanc sous la ruche n°2. Aujourd’hui comptage de varroa tombé sous la Ruche n°2 en 24h = aucun varroa.

J’ai remis la planche sous la ruche n°1 pour continuer à mesurer l’évolution du varroa dans le temps.

Tout est calme au rucher ; silence complet, aucune activité. Pas étonnant par cette température de saison.

 

Jeudi 25 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 2 individus.

 

Mercredi 24 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 5 individus.

Il fait 0°C cet après-midi. Y a t’il une relation entre la température et la remontée de chute de varroa ? Moi qui pensait que la colonie était débarrassée de ces parasites, c’est raté !!

 

Mardi 23 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1. Moyenne en 24h = 0,5 individu.

Il semble que l’action de l’acide oxalique a fait son effet. Il doit rester peu d’individus varroa dans la colonie. Je vais quand même continuer à visiter cette ruche régulièrement pour vérifier que le ne remonte pas.

 

Dimanche 21 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 1 individu.

 

Samedi 20 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 5 individus.

 

Vendredi 19 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 3 individus. (Moyenne sur 3 jours)

Il est 12h, il fait 14°C et il y a une bonne activité. Les abeilles ramènent beaucoup de pollen.

 

Mardi 16 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 4 individus.

 

Lundi 15 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 10 individus.

Il est 17h15, aucune activité autour des ruches.

 

Dimanche 14 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 15 individus.

Il fait soleil aujourd’hui et il y a une belle activité, surtout vers la Ruchette n°1.

 

Samedi 13 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 17 individus.

Les abeilles sont de sortie et rentrent beaucoup de pollen beige clair (probablement du pollen de noisetier). Les abeilles d’hiver sont bien velues ; en voici une au repos sur la ruche.

 

Vendredi 12 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 9 individus.

Il fait un temps doux, un peu de soleil, et les abeilles sortent. La Ruchette n°1 est particulièrement active avec une vingtaine d’abeilles sur la planche d’envol et des allées et venues fréquentes

 

Jeudi 11 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 4 individus.

 

Mercredi 10 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 18 individus.

 

Mardi 9 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 34 individus.

 

Lundi 8 janvier. Comptage de varroa tombé sous la Ruche n°1 en 24h = 19 individus. Avant traitement il en tombait 6 par jour, il semble donc que l’acide oxalique est efficace. Je vais continuer le comptage en espérant qu’à un moment il n’y aura plus qu’un varroa par jour.

Il fait 12°C et il y a quelques abeilles qui entrent et sortent des ruches et ruchettes. La colonie la plus active est celle de la Ruchette n°1 ; à noter que les abeilles de cette colonie sont pour certaines toutes noires et pour d’autres avec un abdomen jaune.

 

 

Dimanche 7 janvier. Vers 16h00, mise en place d’un linge sous la Ruche n°1 pour comptage du varroa dans quelques jours. Cela me permettra de juger l’efficacité du traitement par dégouttement d’une solution d’acide oxalique. La température est douce (12°C), il n’y a pas de vent et le ciel est couvert. J’en ai profité pour constater l’activité des colonies ; on ne voit que quelques abeilles, mais vraiment très peu, à l’extérieur des ruches. Certaines ramènent du pollen gris clair.

Ruche n°1 : il n’y a que 2 abeilles qui consomment le candi (40% de consommé).

Ruche n°2 : Le candi est intact. Aucune consommation depuis le 21 novembre 2006.

Ruchette n°1 : pas visitée car l’encadrement du pain de candi est collé et je n’ai pas pris d’outil pour le décoller.

Ruchette n°2 : forte activité sur le pain de candi qui est consommé à 80%. Rappelons-nous que la colonie de cette ruchette n’avait pas beaucoup de varroa et que je ne l’ai pas traitée par dégouttement d’une solution d’acide oxalique. Peut-être ceci explique t’il cela.

 

Mercredi 3 janvier. Traitement par dégouttement de 50cm3 de solution sucrée d’acide oxalique des ruches 1 et 2 et de la Ruchette n°1.